Ce week end, nos voisins et amis Suisses votent !
On ne soulignera jamais à quel point ce petit pays reste et demeure un exemple de démocratie en Europe. Nous français avons des leçons à prendre.
Et sur quoi votent-ils ? Sur l'Initiative populaire fédérale "Halte à la surpopulation - Oui à la préservation durable des ressources naturelles" qui émane de l'association écologiste Suisse Ecopop, une association qui date des années 70.
L'initiative populaire propose également de promouvoir le malthusianisme dans le tiers-monde, dans les pays bénéficiant de l'aide au développement de la Suisse. Ainsi, 10% de l'aide au développement de la Suisse serait affectée à des moyens de planification familiale.
Cette initiative est très intéressante par rapport à ce qu'elle raconte des contradictions de l'écologie. Elle ne semble pas trouver un écho particulier dans les médias, si ce n'est pour souligner l'incrédulité des progressistes type Libération, qui titre "L’immigration, une menace pour l’environnement helvétique ?". Les libéraux, eux, rejettent le malthusianisme d'Ecopop (voir Contrepoints) ou le soviétisme induit par une telle initiative (voir le blog DJ et Liberté).
Ce qui est certain, c'est que les écolos n'aiment pas vraiment qu'on leur rappelle qu'à la base, l'écologie politique n'est absolument pas une idéologie de "gauche progressiste", mais bien un dirigisme totalement en phase avec les systèmes totalitaires et extrémistes des années 30.
Ils n'aiment pas se souvenir du fait que l'un des fondateurs de Greenpeace, feu le Prince Bernhard des Pays-Bas, ancien membre du Parti Nazi, était aussi mû par des idéaux malthusiens.
Ecopop et autres n'ont pourtant pas besoin d'un cadre ultra dirigiste et totalitaire pour garantir leur tranquillité et la préservation du mode de vie Suisse. Il suffit qu'ils s'attachent au bon fonctionnement du marché, notamment au respect du droit de propriété, pour qu'un pays de copropriétaire s'auto régule naturellement. Durant les dernières décennies, la Suisse, libérale, a prouvé qu'on pouvait être un pays à fort taux d'immigration et à fort respect de l'environnement.
Ce qui est certain, c'est que les écolos n'aiment pas vraiment qu'on leur rappelle qu'à la base, l'écologie politique n'est absolument pas une idéologie de "gauche progressiste", mais bien un dirigisme totalement en phase avec les systèmes totalitaires et extrémistes des années 30.
Ils n'aiment pas se souvenir du fait que l'un des fondateurs de Greenpeace, feu le Prince Bernhard des Pays-Bas, ancien membre du Parti Nazi, était aussi mû par des idéaux malthusiens.
Ecopop et autres n'ont pourtant pas besoin d'un cadre ultra dirigiste et totalitaire pour garantir leur tranquillité et la préservation du mode de vie Suisse. Il suffit qu'ils s'attachent au bon fonctionnement du marché, notamment au respect du droit de propriété, pour qu'un pays de copropriétaire s'auto régule naturellement. Durant les dernières décennies, la Suisse, libérale, a prouvé qu'on pouvait être un pays à fort taux d'immigration et à fort respect de l'environnement.
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