mercredi 31 juillet 2013
lundi 29 juillet 2013
Le "jour de #liberationfiscale" a-t-il un sens ?
Voici une réponse à la critique du "jour de libération fiscale" par Samuel Laurent et Jonathan Parienté, journalistes au Monde, qui estiment qu'il s'agit d'un indicateur biaisé et se demandent si l'expression "travailler pour l’État" a un sens.
Il est bien entendu que l’Impôt sur le Revenu est un impôt direct, que la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) est un impôt indirect qui frappe la consommation et que les cotisations d’assurance maladie sont des cotisations. Là-dessus, point de débat : ces différents prélèvements obligatoires revêtent des formes différentes – l’assiette, le taux et le mode de calcul. En revanche, ils ont ceci en commun d’être obligatoires et de donner lieu – au moins en théorie – à une contrepartie, des services que l’État est supposé nous rendre.
Or, une des critiques adressées par MM. Laurent et Parienté aujour de libération fiscale, c’est qu’il amalgame les prélèvements destinés à « financer l’État au sens propre » et ceux qui sont redistribués aux contribuables sous forme de prestations sociales ou de subventions. Les auteurs établissent donc une distinction entre les prélèvements qui donnent droit à des services (assurance santé, retraite…) et un autre type de prélèvements qui – manifestement – ne donneraient lieu à aucune contrepartie.
C’est naturellement purement fictif. Lorsque vous payez vos impôts pour « financer l’État au sens propre », vous bénéficiez – au moins en principe – d’un certain nombre de services en contrepartie : police, justice, armée, infrastructures etc.
mercredi 17 juillet 2013
Climat : la climatologie, une science exacte ?
Les climatologues proches du GIEC cherchent à confisquer le débat portant sur les évolutions climatiques. Est-ce légitime ?
Un article de Jo Moreau
Depuis maintenant de nombreuses années, un groupe de climatologues proches du GIEC – quand ils n’en sont pas les porte-paroles – ont réussi à s’imposer (principalement dans le monde francophone) comme interlocuteurs exclusifs des médias et du monde politique pour tout ce qui concerne l’évolution climatique future, déniant aux autres scientifiques toute expertise en ce domaine s‘ils n'ont pas publié sur ce sujet précis dans des « peer-revue » dûment validées par eux.
Il s’agit d’un véritable hold-up sur un sujet scientifique primordial, le concept de la responsabilité humaine dans l’évolution du climat ayant suscité dans le monde entier des prises de décision politiques, énergétiques et économiques fondamentales engageant des centaines de milliards de dollars, alors que cette théorie n’est basée que sur des corrélations mises en évidence par des modèles informatiques contestés, et qu’aucune preuve scientifique n’a définitivement validée.
mardi 16 juillet 2013
L'écologie politique en France est représentée par des gens d'une grande pauvreté intellectuelle
Opinion : L'écologie politique en France est représentée par des gens d'une grande pauvreté intellectuelle
Un fait ?
En France le président est certes totalement dénué de charisme mais en plus il s'est entouré de gens d'une très grande pauvreté intellectuelle en ce qui concerne l'écologie politique, écologie politique qui est la plus stupide et la plus archaïque qui soit.
Casting : Gilles Le Gendre, Léonidas Kalogeropoulos et Nicolas Doze
Ce qui est certain, c'est que l'aile gauche d'EELV, venue du socialisme et du communisme et non pas de l'écologie politique stricto sensu, ne fait pas assez confiance au progrès technique. De plus, cette démarche de gauchisation d'EELV est vaine puisque Mélenchon et ses troupes dépassent EELV par sa gauche.
Un fait ?
En France le président est certes totalement dénué de charisme mais en plus il s'est entouré de gens d'une très grande pauvreté intellectuelle en ce qui concerne l'écologie politique, écologie politique qui est la plus stupide et la plus archaïque qui soit.
Casting : Gilles Le Gendre, Léonidas Kalogeropoulos et Nicolas Doze
Ce qui est certain, c'est que l'aile gauche d'EELV, venue du socialisme et du communisme et non pas de l'écologie politique stricto sensu, ne fait pas assez confiance au progrès technique. De plus, cette démarche de gauchisation d'EELV est vaine puisque Mélenchon et ses troupes dépassent EELV par sa gauche.
lundi 15 juillet 2013
Pas de décharge en Brocéliande !
Brocéliande de la porte des secrets à celle des poubelles
La forêt de Brocéliande, réputée pour les mythes et légendes qu'elle renferme est un haut lieu de la légende Arthurienne et tout simplement une part essentielle du patrimoine breton et mondial.
La forêt de Brocéliande, réputée pour les mythes et légendes qu'elle renferme est un haut lieu de la légende Arthurienne et tout simplement une part essentielle du patrimoine breton et mondial.
Ce site historique est depuis 2004 un terrain d'affrontement entre d'une part des associations de défense de l'environnement et d'autre part une soixantaine de communes du centre Bretagne qui veulent construire en lisière de la forêt un centre d'enfouissement de déchets issus des différentes collectes (refus de l’usine TMB, Déchets Industriels Banals…) et une usine de traitement d'ordures ménagères (Tri Mécano Biologique) de 11.900m². Le site prévu sur la commune de Gaël au lieu dit Point-Clos aura une capacité de stockage estimée à 300 000 m 3 pour une durée de vie prévisionnelle de 15 à 20 ans avec un stockage quant à lui définitif. Adossée à une ancienne décharge d’environ 6 hectares contenant 330 000 tonnes de déchets, cette nouvelle zone occupera près de 12,6 hectares dont 7 ha dédiés au stockage des déchets et le reste étant réservé aux traitements des effluents.
L'Association « Sauvegarde Brocéliande » ainsi que d'autres associations de Brocéliande luttent activement contre ce projet lancé en 2003. De son côté le SMICTOM (Syndicat Intercommunal de Collecte et Traitement des Ordures Ménagères) affirme que ce projet est la seule alternative au transport des déchets vers un centre dans la Mayenne qui, lui aussi, a un coût sur l'environnement.
lundi 8 juillet 2013
dimanche 7 juillet 2013
Le rêve du Villo électrique dans les côtes bruxelloises, en discussion
Bruxelles n’est pas le plat pays, on ne le sait que trop quand on fait du vélo. L’idée de la députée Anne-Charlotte d’Ursel est alors de renforcer la flotte des Villos de spécimens électriques. Dans les stations, les abonnés, jeunes et moins jeunes, signent des deux mains.
« Bruxelles, c’est toujours descendre et monter », s’essouffle Beirgitta. « Rien qu’ici, l’avenue de Tervuren, elle monte sérieusement. Pour moi c’est du sport, j’adore. Mais plusieurs de mes collègues, passé la cinquantaine, refusent le vélo sur le chemin du travail le matin. Dernièrement, une amie a préféré s’acheter un vélo électrique », argumente la jeune Allemande.
C'est justement ça l’idée : intégrer « un modèle mieux adapté à la topographie extrêmement vallonnée de la ville » à la collection des Villos. La députée libérale Anne-Charlotte d’Ursel a saisi le Secrétaire d’Etat à la mobilité de la question. « S’il y a des obstacles techniques, il faut tenter de les résoudre », estime-t-elle.
samedi 6 juillet 2013
vendredi 5 juillet 2013
Les Vert'libéraux Suisses lancent «SOS Solaire»
L'opération a pour but de soutenir des citoyens qui doivent aller devant un tribunal pour faire respecter leurs droits en matière d'installation de panneaux solaires.
Les lois sont bien conçues, mais certains services de l'Etat les interprètent à leur manière. Ils font des recours abusifs qui empêchent notamment l'installation de panneaux solaires, ont indiqué lundi les Vert'libéraux dans un communiqué.
jeudi 4 juillet 2013
mercredi 3 juillet 2013
Affaire Batho : le positionnement de l'écologie en question
Hollande met fin aux fonctions de Delphine Batho, et, ce faisant, met fin à la parité dans le gouvernement Ayrault. Et comme Batho critiquait la baisse de 7% prévue pour le budget de l'écologie,
Yves Cochet appelle les écologistes à quitter le gouvernement.
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Maintenant, la question du positionnement politique d'EELV est à nouveau posée, et deux lignes s'opposent. D'un coté, les dirigistes, protectionnistes, de l'autre, des gens qui font confiance à l'intelligence collective et à l'innovation.
Quelle ligne va gagner chez EELV ? Les libéraux d'EELV vont-ils rejoindre l'UDI ?
lundi 1 juillet 2013
Espionnage de la NSA : la classe politique française estomaquée ? Vraiment ?
Belle unanimité que celle que le Monde rapporte : Espionnage de la NSA : la classe politique française estomaquée !
Le ministre des affaires étrangères va même convoquer l'ambassadeur US en France, d'après BFM TV.
Est ce que cette même classe politique nous prend pour des idiots ? Où étaient-ils quand, fin 2010 déjà, on a
appris par Wikileaks et le Monde, que les Etats-Unis avaient un programme de collecte systématique des données personnelles des ambassadeurs et personnels diplomatiques travaillant pour l'ONU, à New York ?
C'est vrai qu'il était gênant, à l'époque, d'apprendre que ces politiciens, Sarkozy, Villepin ou Royal, se critiquaient entre eux devant l'ambassadeur US, au sein de l'ambassade US (voir Libération).
Les gesticulations du jour de la classe politique française ont quelque chose de comique. Que va faire la France ? Envoyer quelques Mirage 2000 et Rafale tirer des coups de semonce au dessus de Washington D.C. ? Elles ont surtout quelque chose de très inquiétant pour nous, les citoyens. Quand, il y a deux semaines, Edward Snowden a révélé que PRISM passait au tamis numérique de manière systématique Facebook, Twitter et aussi les fournisseurs d'emails (privés ...?), le gouvernement français n'a rien dit du tout.
Pourquoi ? Parce que tant que ca concerne les gueux les citoyens et non pas les institutions, c'est moins grave ?
Peut-être parce que la police et la DCRI font de même, vis à vis des citoyens français notamment.
Souvenez-vous : depuis mars 2011, un décret oblige désormais les fournisseurs de services sur Internet à conserver pendant un an mots de passe, traces d'achats ou commentaires laissés sur le web par les internautes. La police pourra y avoir accès lors d'enquêtes, ainsi que le fisc ou l'URSSAF. (source RMC)
Mais pas de problèmes, en France, on surveille les citoyens pour "lutter contre le terrorisme" et "combattre la fraude fiscale". Tiens, c'est le motif que la NSA a donné, elle aussi, pour justifier son action ...
Oui, chers lecteurs, vous avez bien compris. Quand l'Etat (les états, en fait) dit travailler à notre sécurité, il travaille surtout à son propre maintien, quelque soit le coût pour nos libertés.
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