mercredi 1 février 2012

Sous l’autoroute d’Orly

Le bruit sourd enfle et sature bientôt l'air. Luc Offenstein élève la voix puis s’arrête dans sa phrase. Il le sait: pas la peine de lutter contre un Airbus ou un Boeing. L’avion débouche de l'horizon, passe exactement à l’aplomb du pavillon, ne laissant voir que son ventre blanc, disparaît derrière un bouquet d’arbres, au fond du jardin. Luc Offenstein reprend là où il en était, enchaîne quelques mots mais déjà un autre grondement s'annonce et le contraint à s’interrompre, puis à capituler.

La suite sur le blog Sucy en Brie Terminus Pavillon

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